JVStories : Ludivine Bailly, une DGS 2.0 proactive [1/3]

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JVS-Mairistem vous propose une nouvelle rubrique dans laquelle vous découvrirez différents agents communaux partageant leur expérience professionnelle, leur vision du métier et des usages actuelles, leurs pratiques numériques et leurs projets.

Ludivine Bailly est Directrice Générale des Services dans la commune de Branne en Gironde depuis trois ans. Nul besoin de faire partie de la génération Z pour être convaincu de l’importance des nouvelles technologies dans les collectivités. C’est ce que nous révèle cette DGS 2.0 à travers un témoignage en 3 parties sur ses pratiques numériques et sa vision sur les nouveaux usages dans les collectivités. Découvrez dans cet article son métier, son mode de travail et son expérience face au confinement. 

En quoi consiste vos missions au sein de la mairie ?

Je suis Directrice générale des services (DGS). Je m’occupe essentiellement de la partie RH, de la gestion des projets communaux et des missions intercommunales. Je m’assure de la bonne cohésion de tous les services que ce soit le service technique, l’école ou le secrétariat général. Concernant la partie RH, je m’occupe de la gestion courante, des plannings, des formations, de l’évolution des carrières. Concernant les projets communaux, j’accompagne les élus sur les gros projets quels qu’ils soient : voirie, urbanisme, état civil. Enfin je m’occupe des budgets. Dans les communes à caractère rural, la polyvalence est indispensable.

Le télétravail, c'est quelque chose de nouveau à Branne ?

Personnellement je fais du télétravail presque tous les jours. Généralement je suis en mairie la journée et le soir en rentrant chez moi il m’arrive de continuer à travailler à distance. C’est le métier de DGS qui veut ça. Pendant le confinement, deux agents travaillaient de chez eux à 100% : la secrétaire comptable et la secrétaire générale. De par leurs fonctions et grâce aux logiciels JVS-Mairistem dotés de la technologie du Cloud, ils ont pu faire du télétravail intégralement. Je trouve que le Cloud a pris tout son sens avec le confinement. 

Selon vous, ces nouvelles pratiques vont-elles être pérennisées ?

Avant le confinement le télétravail n’était pas bien perçu dans la fonction publique avec des aprioris comme des doutes sur la capacité à travailler depuis chez soi sérieusement. De manière générale, les gens ont du mal à laisser les agents travailler chez eux et se faire à l’idée que c’est possible. Aujourd’hui après le déconfinement on voit que la perception sur le télétravail a un peu changé dans le secteur privé et dans les grandes villes. Maintenant il y a des employeurs qui autorisent le travail à la maison et qui se rendent compte qu’ils vont pouvoir réduire la capacité d’accueil de leurs salariés et donc réduire leurs charges. Dans les zones rurales c’est toujours compliqué même après le confinement malheureusement. 

Comment avez-vous perçu l’accompagnement de JVS-Mairistem pendant le confinement ?

Que ce soit dans l’accompagnement ou dans les solutions Cloud, pour moi JVS-Mairistem à vraiment utilisé son potentiel durant le confinement. J’ai pu constater que ce n’était pas le cas des autres prestataires informatiques de par les multiples réactions des secrétaires sur les groupes Facebook. D’autre part, les secrétaires qui étaient avant un peu récalcitrantes parce que les solutions informatiques de JVS-Mairistem leur avaient été imposées quand elles sont arrivées en poste semblent avoir changé d’avis. Avec le confinement elles étaient bien soulagées d’avoir le Cloud pour pouvoir faire du télétravail. Me concernant, j’ai dû me rendre en mairie durant tout le confinement. La charge de travail était donc intense et mon chargé de clientèle, Julien David, m’a aidée de manière très réactive et efficace quand j’en avais besoin. Il m’a fait gagner un temps précieux.

Article écrit par Margot Tison

Chargée de marketing et communication

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